1h35 - Sortie le 6 Mars 2013
Un film de Ben Lewin avec John Hawkes, Helen Hunt et William H. Macy
Mark fait paraître une petite annonce : "Homme, 38 ans, cherche femme pour relation amoureuse, et plus si affinités. En revanche paralysé… Amatrices de promenade sur la plage s’abstenir...". L’histoire vraie et bouleversante d’un homme que la vie a privé de tout, et de sa rencontre avec une thérapeute qui va lui permettre d’aimer, "comme tout le monde".
La Moyenne des Ours : 3,7/5
Le point de vue de Pépite : 4/5
The Sessions est un film touchant et drôle grâce à sa belle histoire humaine et à ses comédiens inspirés.
On peut vraiment rire de tout, avec presque tout le monde. Ici ce qui frappe c'est l'humour cynique mais non désabusé du personnage principal atteint de polio depuis son enfance, incarné avec brio par John Hawkes. Il est conscient de sa condition et de son espérance de vie mais cela ne l'empêche pas de croire en Dieu, en un Dieu plein d'humour et d'ironie. S'il n'y avait pas de Dieu à qui pourrait-il "blâmer" pour sa condition ?
Les "sessions" du titre sont d'ailleurs autant celles "sexuelles" avec la "thérapeute" sexuelle jouée par Helen Hunt (très touchante) que celles avec le prêtre confesseur joué par William H. Macy (très drôle et touchant lui aussi) ou celles avec les différents confidents autour du personnage de Hawkes, ces assistants de vie, une connaissance handicapée, etc.
Le scénario intelligent de The Sessions alterne des séquences très amusantes de confessions avec le prêtre (qui parle de sexe tout en admettant qu'il n'en est pas le plus fin connaisseur) et des séquences d'une pudeur extrême alors qu'ils sont en pleine "action". Ces scènes d'initiation au sexe sont amusantes et touchantes, John Hawkes donnant beaucoup de lui-même.
Jusqu'à la dernière scène qui déclenche la première petite larme du film (ou plus si affinités lacrymales), The Sessions joue avec intelligence avec toutes les émotions humaines ; un très bon moment, on y reviendra.
On peut vraiment rire de tout, avec presque tout le monde. Ici ce qui frappe c'est l'humour cynique mais non désabusé du personnage principal atteint de polio depuis son enfance, incarné avec brio par John Hawkes. Il est conscient de sa condition et de son espérance de vie mais cela ne l'empêche pas de croire en Dieu, en un Dieu plein d'humour et d'ironie. S'il n'y avait pas de Dieu à qui pourrait-il "blâmer" pour sa condition ?
Les "sessions" du titre sont d'ailleurs autant celles "sexuelles" avec la "thérapeute" sexuelle jouée par Helen Hunt (très touchante) que celles avec le prêtre confesseur joué par William H. Macy (très drôle et touchant lui aussi) ou celles avec les différents confidents autour du personnage de Hawkes, ces assistants de vie, une connaissance handicapée, etc.
Le scénario intelligent de The Sessions alterne des séquences très amusantes de confessions avec le prêtre (qui parle de sexe tout en admettant qu'il n'en est pas le plus fin connaisseur) et des séquences d'une pudeur extrême alors qu'ils sont en pleine "action". Ces scènes d'initiation au sexe sont amusantes et touchantes, John Hawkes donnant beaucoup de lui-même.
Jusqu'à la dernière scène qui déclenche la première petite larme du film (ou plus si affinités lacrymales), The Sessions joue avec intelligence avec toutes les émotions humaines ; un très bon moment, on y reviendra.
La note de Tinette : 4/5
La note de Juani : 3/5
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire