2h03 - Sortie le 6 Novembre 2013
Un film de Richard Curtis avec Domhnall Gleeson, Rachel McAdams et Bill Nighy
Alors que Tim vient d'avoir 21 ans, il apprend par son père qu'il peut voyager dans le temps.
La Moyenne des Ours : 4/5
Le point de vue de Pépite : 3,5/5
Richard Curtis réussit avec "Il était temps" à mêler le genre de la comédie romantique à une intrigue fantastique, sans jamais perdre l'humour british qui fait le charme de ses films.
Le voyage dans le temps, voilà un sujet que l'on n'attendait pas forcément au détour de la filmographie de Richard Curtis, réalisateur emblématique des comédies romantiques à l'anglaise. Il parvient à l'intégrer à son univers d'une façon si naturelle que l'on finit même par s'en vouloir d'avoir douté de sa place dans sa filmographie. Pas d'effets spéciaux tape-à-l'oeil nous renvoyant à l'expérience de voyage dans le temps, juste un procédé simple : Tim doit se tenir dans le noir (pièce sombre ou armoire), serrer ses poings et penser au jour où il veut retourner. "Il était temps" reste donc une comédie romantique et le fantastique n'est qu'une occurrence narrative, au même titre que le drame qui au détour de l'intrigue principale pointe le bout de son nez lors de scènes d'une justesse infinie.
Les excellents comédiens de Curtis (on retrouve Nighy avec plaisir, comme à chaque film) livrent une interprétation touchante et drôle de leurs personnages confrontés au voyage dans le temps dont est capable Tim.
Malgré le caractère fantastique de l'histoire du film, "Il était temps" nous touche comme si l'on voyait quelque chose de très réaliste et proche de nous, avec son humour british, ses scènes touchantes et parfois tristes. Une belle histoire.
Le voyage dans le temps, voilà un sujet que l'on n'attendait pas forcément au détour de la filmographie de Richard Curtis, réalisateur emblématique des comédies romantiques à l'anglaise. Il parvient à l'intégrer à son univers d'une façon si naturelle que l'on finit même par s'en vouloir d'avoir douté de sa place dans sa filmographie. Pas d'effets spéciaux tape-à-l'oeil nous renvoyant à l'expérience de voyage dans le temps, juste un procédé simple : Tim doit se tenir dans le noir (pièce sombre ou armoire), serrer ses poings et penser au jour où il veut retourner. "Il était temps" reste donc une comédie romantique et le fantastique n'est qu'une occurrence narrative, au même titre que le drame qui au détour de l'intrigue principale pointe le bout de son nez lors de scènes d'une justesse infinie.
Les excellents comédiens de Curtis (on retrouve Nighy avec plaisir, comme à chaque film) livrent une interprétation touchante et drôle de leurs personnages confrontés au voyage dans le temps dont est capable Tim.
Malgré le caractère fantastique de l'histoire du film, "Il était temps" nous touche comme si l'on voyait quelque chose de très réaliste et proche de nous, avec son humour british, ses scènes touchantes et parfois tristes. Une belle histoire.
La note du Comte : 4/5
La note de Juani : 4/5
La note de Tinette : 4,5/5
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